La décision tant redoutée de non-lieu dans l’affaire du chlordécone, rendue le 2 janvier dernier, et motivée par des raisons de droit malgré la reconnaissance par les magistrates du « scandale sanitaire », continue de susciter l’indignation. Les parties civiles
ont décidé de faire appel, et certaines appellent à l’union.
Certes la décision n’a pas surpris grand monde puisque le non-lieu menaçait depuis février 2021 comme en ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.