Le CHUM doit faire face depuis près de deux ans, à l’épidémie de Covid-19 qui sature ses services et épuise ses agents, notamment depuis l’été dernier.
Mais en plus de la crise sanitaire, l’établissement subit les conséquences d’une crise sociale liée à l’obligation vaccinale. Des tensions qui ont atteint leur paroxysme la semaine dernière avec l’agression de médecins par les manifestants.
La crise s’enlise au ...
Abonnez vous et Connectez-vous pour lire l'article complet.